Marianne Smolska

Dessinatrice

Cette série au stylo bille révèle une réflexion sur la fragilité de la vie, le temps qui passe, l’inéluctable vieillissement du corps et les blessures du deuil qu’il faut bien panser, soigner et même suturer. Les fils, fragiles lignes de vie, trames, filets ou coutures (…) semblent vouloir capturer le motif avant qu’il ne disparaisse.
Et quand ils sont tout simplement tendus ou suspendus, ces fils semblent tisser des liens entre deux mondes celui d’ici-bas et celui de l’ailleurs.

Isabelle Capron, extrait du catalogue de l’exposition “Phù Du”.

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